13-14- L'avenir de Dion

Presque une semaine après que son parti a reçu sa raclée électorale la plus grande depuis la Confédération, le Leader Libéral Stéphane Dion a aujourd'hui dit que sa tenure finira à une convention de direction en mai, mais a juré de diriger son parti par l'ouverture du 40ème Parlement le mois suivant.
"J'accepte entièrement ma part de la responsabilité," a dit M. Dion de l'échec électoral Libéral. "Nous devons apprendre rapidement de cette expérience.  La recherche d'un nouveau leader Libéral fera partie d'un processus de renouveler notre parti, mais ne sera pas clairement en soi suffisante.

"Le passé est le passé," a-t-il dit. "Je regrette que je n'aie pas réussi, bien sûr. Mais vous devez accepter dans la démocratie le résultat. C'est ce que je fais." M. Dion n'était pas la seule personne espérant rapidement se déplacer devant l'élection fédérale décevante. L'ancien Rival de direction Libéral Bob Rae a reculé de la spéculation de leadership lundi.

M. Dion descendra au lieu de cela dans l'histoire comme seulement le deuxième leader Libéral dans l'histoire canadienne qui n'est pas devenue de Premier ministre, rejoignant Edouard Blake, qui a tenu la direction générale du parti de 1880-87.

M. Dion a dit lundi qu'il avait passé quelques jours de réflexion pensant au parti,  au pays et son avenir propre. En fin de compte, il a décidé de rester comme le leader jusqu'à mai "pour assurer une transition lisse et fructueuse. Il marchera alors loin de la direction du parti et restera comme le député pour Saint-Laurent-Cartierville.

Beaucoup de Libéraux s'attendaient à ce que M. Dion eu été debout de dans les jours de l'élection, mais d'autres disaient qu' il devrait rester pour aider mener le parti à bien à une convention de leadership probable d'être tenu en mai.
Les Libéraux ont été réduits à 76 sièges mardi dernier, en bas de 103 dans l'élection 2006 et gagnés seulement 26.2 pour cent du vote populaire - deux points plus bas que l'exposition désastreuse en 1984 sous John Turner et seulement quatre points en avance du plus mauvais jamais résultat depuis 1867.

M. Dion a dit. "À la fin du jour, le peuple a pensé que c'était un une taxe carbonique et en avait peur," a-t-il dit du plan de Changement Vert qu'a formé une planche centrale de sa campagne électorale. "Quand je suis venu avec un plan économique pendant les 30 premiers jours du gouvernement Libéral ... maintenant M. Harper met en oeuvre quelque chose de très semblable, après l'énonciation dans la campagne que j'acclamais pour une récession." Qui deviendra le leader du parti libéral ?

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